Résolution 12 (5G)

Les propos de Monsieur Guy Cautenet, Physicien, ex-professeur à l’université de Clermont Ferrand, Président de l’association « Ondes citoyennes », dans un mail en réponse à une étude, est un modèle de réaction « normale » dont on aimerait  que les dirigeants soient pourvus :

« Ne se préoccuper que de l’impact thermique est une erreur fondamentale qui conduit à oublier ce qui est probablement le plus important, car le plus insidieux, mais objet de toutes les dénégations. Il s’agit des effets non-thermiques des CEM, induits par des expositions de faible niveau mais agissant silencieusement sur de longues périodes. Ces effets non-thermiques ont été mis en évidence par un grand nombre d’études scientifiques indépendantes depuis des années. Il faut donc, avant tout, ne plus se cantonner aux très contestables recommandations ICNIRP, qui se réfèrent aux seuls effets d’échauffement et dont la pertinence sur le plan biologique est faible. Pour ne citer qu’un article qui détruit l’argumentation ICNIRP, on peut se référer à celui-ci: Scientific evidence invalidates health assumptions underlying the FCC and ICNIRP exposure limit determinations for radiofrequency radiation_ implications for 5G, publiée fin 2022 dans la revue  Environmental Health. Il est indéniable que les effets thermiques des CEM sont dangereux pour la santé humaine, mais il est incompréhensible que les effets non-thermiques soient encore et toujours niés (effets officiellement dits « non avérés ») ! Je précise, pour éviter toute ambigüité, que ces effets sont susceptibles, eux aussi, de nuire aux non-humains: ainsi, toute étude impartiale et complète sur ce sujet est profitable à l’ensemble de la biosphère, humaine et non humaine, ce qui doit être une préoccupation majeure. (…). Quelques dernières remarques, sur lesquelles nous ne transigeons pas, et qui montrent que nous ne sommes pas en adéquation avec l’ensemble des questions de votre enquête : une onde électromagnétique de haute fréquence n’agit pas de la même manière sur un sanglier et sur une abeille, car un paramètre important, dans le second cas, est la proximité de la longueur d’onde et de la taille de l’organisme (résonance). De plus, s’agissant des fréquences très élevées (dizaines de GHz), le supposé effet de peau (skin effect) ne marche pas pour le vivant, dont la peau est rarement en métal ! Les mécanismes de pénétration des CEM dans l’organisme ont été mis en évidence,  notamment par le Pr Martin Pall, professeur émérite de biochimie et Sciences médicales de base (Washington State University). On ne peut pas procéder à une étude simplifiée et générale sur les organismes humains ou non. »

• En raison de la situation générale des éleveurs et agriculteurs, de la disparition des abeilles et insectes polynisateurs, il semble raisonnable de désactiver ces antennes 5G en attente de plus d’informations et d’études sur leur effet sur le vivant. Mission que le peuple de France doit assumer au plus tôt sur son territoire.
• Selon le Dr Rachid Buttar et de nombreux autres scientifiques, l’injection génique chargée de graphène comprendrait divers virus mortels qui seraient activables par des « rafales de 5G ». Le principal d’entre-eux, le virus « Marbourg » semble être le premier qui sera déclenché, provoquant une « vraie » pandémie et de nombreux morts qui vont servir à établir la toute puissance de l’OMS et forcer à de nouvelles injections létales… Le décès subit du Dr Rachid Buttar, peu après avoir publié cette information, pourrait bien confirmer celle-ci.
•  

Résolution