Gouvernance Démosophique de France
par un « Conseil National de Transition » (Proclamé et déclaré à l’ONU en 2015)
Basé sur l’INTELLIGENCE HUMAINE COLLECTIVE (IHC)
Cour Souveraine
Internet JITSI (meet.jit.si) COUR SOUVERAINE
Session les Mardis à partir de 20h et jeudis 21h
Courriel : magistraturesupreme@proton.me
RESOLUTION 5/230103
OBJET : Enfants
Préambule
Compte tenu de la maltraitance généralisée des enfants, soit par des traditions culturelles, soit par les manipulations prétendues « médicales », soit par le rêve de quelques-uns de créer une race humano-numérique, il parait essentiel, dans le but de protéger l’innocence de l’enfance, d’introduire un article spécial au niveau constitutionnel garantissant l’intégrité physique et mentale des enfants pour les protéger autant de la tendance pédocriminelle institutionnelle que des conditionnements au service d’intérêts privés, pharmaceutiques ou politiques.
Une classification naturelle doit déterminer l’attitude de la société par rapport aux enfants :
- De 0 à 3 ans : l’enfant dépend exclusivement de ses parents.
- De 3 à 5 ans : L’enfant depend toujours exclusivement de ses parents et reçoit l’éducation qui lui servira en société (règles civiques (morale, politesse, savoir-vivre). L’école est facultative durant cette période.
- De 5 à 12 ans (« apprendre à apprendre ») : commence une instruction « scolaire » essentiellement basée sur le langage, l’écriture, l’arithmétique et la connaissance générale (arts, nature, sciences, histoire et géographie).
- De 12 à 14 ans : instruction scolaire accentuée avec les autres matières (maths, arts, sciences). Cette période importante sert à déterminer les aspirations et les compétences afin d’orienter justement l’enfant vers sa vie professionnelle.
- A partir de 14 ans, c’est la raison de l’enfant qui décide de sa voie future.
- Dès 16 ans, la société doit lui fournir les moyens de se former dans la voie qu’il a choisi et de s’orienter selon ses aspirations professionnelles.
Situation actuelle
Les problèmes majeurs auxquels il faut faire face aujourd’hui concernent les parents qui ont été victimes des fausses valeurs dispensées par l’état au cours des quarante dernières années, ayant rendu un grand nombre d’entre eux laxistes ou écartés des réalités éducatives, ce qui oblige les enseignants à faire face à des situations inattendues et à compenser le manque d’éducation, car il manque aux enfants les qualités essentielles pour une vie en société harmonieuses (connaissance de soi, donc respect, dignité, justesse, droiture…).
L’Etat actuel tente de se substituer aux parents en obligeant à une scolarité précoce, les privant donc de l’éducation parentale, et en orientant les techniques instructives de façon à limiter les capacités intellectuelles des enfants (loi internationale des illuminati pour « que les enfants du peuple ne puissent égaler les enfants de l’élite ») :
- Mise en place en France par L. Jospin en 1989 de la méthode constructiviste abolissant la méthode syllabique, afin que les enfants soient attardés en matière de lecture et écriture, donc de compréhension générale.
- Réduction des facultés mentales par des injections de métaux lourds via des « vaccins » obligatoires.
- Puis une « instruction civique » ayant pour but de les habituer à la soumission (est-ce le rôle de l’école de formater les esprits plutôt que de les ouvrir ?)
- Enfin création d’une dissonance cognitive en niant la réalité naturelle évidente par une théorie du genre visant à générer un conflit à long terme entre l’individu et la société normale et à axer la vie autour des instincts les plus primaires.
- Et récemment, des conditionnements aux intérêts privés des laboratoires pharmaceutiques (est-ce le rôle de l’école de convaincre des vaccinations ?).
Aujourd’hui, les personnes ayant conscience de cette situation et ayant eux-mêmes reçu une éducation ad hoc, donc capables d’en transmettre les principes essentiels, sont le plus souvent retraitées. Ce sont elles qui devront donc prendre en charge la formation des futurs enseignants.
Ajoutons à cette maltraitance institutionnelle celle de l’institution judiciaire qui gére les conflits parentaux en remettant de façon quasi systématique l’enfant au parent maltraitant ou aliénant, obligeant souvent le parent protecteur à fuir la France pour protéger son enfant !
RESOLUTION
Au vu :
- De la récente autorisation de mise sur le marché de nouveaux vaccins destinés aux enfants de 7 mois à 14 ans.
- De l’intention déclarée par les dirigeants d’imposer cette vaccination mortifère par divers moyens de coercition comme en 2021
- De la préparation actuelle de cette coercition par les souffrances volontaires infligées à la population (énergie, économie, réduction des services publics, lois « d’exception », etc…) pour affaiblir sa résistance.
Il parait évident qu’une opération prochaine sera déclenchée contre nos enfants, obligeant à des vaccinations que toute la communauté scientifique reconnait inutiles et nefastes. Vaccination elle-même qui s’inscrit dans un plan global décrit clairement par le World Economic Forum qui n’hésite pas à présenter E. Macron comme l’un de ses principaux outils, et l’a aussi chargé de lancer simultanément une provocation supplémentaire envers la Russie, la gestion de nouvelles privatisations, la dépendance des individus au système bancaire via des passeports vaccinaux, et la constitution de milices renforcées.
Le PEUPLE DE FRANCE, en qualité de SOUVERAIN LEGITIME, chargé de garantir le Bien Commun et les droits fondamentaux des Français conformément à l’article 2 évoquant ces droits comme « naturels et imprescriptibles », après avoir démontré que l’ensemble du système de gouvernance actuel de la France est illégitime et illégal et, pour cette raison, proclamé un Conseil National de Transition à l’ONU en 2015,
- ESTIME que cette attaque contre nos enfants aura pour conséquence des révoltes populaires que les forces publiques et privées (milices) seront chargées de réprimer, risquant d’accélérer le démantèlement programmé de la France.
- ESTIME aussi que la mission permanente de la Force Publique est la sauvegarde de la Nation (article 12 de la DDHC)
- PENSE que le rétablissement de l’état de droit est essentiel et que cela ne peut se faire qu’après l’arrestation des usurpateurs et l’intronisation du PEUPLE SOUVERAIN, aujourd’hui représenté par ce Conseil National de Transition. Peuple qui, par ses résolutions précédentes a manifesté qu’il refusait de prendre parti dans la guerre Russie/Ukraine et qui, en cessant son appui aux forces nazies et en rétablissant l’état de droit, retrouverait son accès aux fournitures énergétiques, son indépendance vis à vis de l’OTAN et de l’Union Européenne et se libèrerait de l’hégémonie américaine représentée par le conglomérat privé Blackrock/Vanguard, qui tire les plus grands profits de l’effondrement en cours.
- DONNE DONC MANDAT à la force publique française de procéder à l’arrestation de l’ensemble des membres du gouvernement actuel, de leurs complices impliqués dans les gouvernements précédents et de tous les hauts fonctionnaires figurant sur la liste des personnes impliquées dans des affaires frauduleuses ou pédocriminelles.
Pour exécution dudit mandat, nous mandons et ordonnons à tous officiers ou agents de la Force publique de rechercher, arrêter et conduire chacun de ces individus, après une garde à vue qui ne pourra excéder 7 jours, en détention provisoire à la Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis pour être mis à la disposition de la justice.
Nature des faits incriminants : Haute trahison, Atteinte à la Sûreté de l’Etat et aux intérêts de la Nation, Complicité de crime contre l’humanité…
Infractions restant à déterminer et qualifier : participation à une ou plusieurs organisations criminelles, terrorisme, trafic illicite d’armes, de munitions et d’explosifs, éliminations extrajudiciaires (assassinats), fraude et corruption. Cette liste sera complétée par les enquêteurs nationaux et internationaux diligentés par l’instruction qui s’adjoindront à l’investigation en cours pour “crimes contre l’humanité”.
Le présent mandat se rapporte également à la saisie et à la remise des objets et documents de toute nature qui peuvent servir de pièces à conviction, ainsi qu’à la saisie des objets et documents de toute nature acquis par les personnes recherchées du fait des infractions. Ces objets et documents seront recherchés depuis le premier jour de la délivrance du présent mandat sans restriction de durée à partir de ce jour.
Compte tenu du fait que ces individus disposent de nombreux complices dangereux et sont soupçonnés d’appartenir à des réseaux occultes ayant phagocyté plusieurs services des institutions nationales, il est expressément recommandé aux agents de la force publique d’intervenir en collaboration avec les services des forces armées de l’état, civiles ou militaires, respectueuses de l’état de Droit et fidèles à la Constitution, sans crainte d’abolir les hiérarchies si nécessaire.
Eu égard à l’exceptionnelle gravité des faits, une commission spéciale de plusieurs juges d’instruction, dont l’un au moins spécialisé en droit militaire, sera composée par le Conseil National de Transition de France qui prendra soin de vérifier pour chacun d’entre eux qu’il n’appartient à aucune secte pouvant être reliée aux réseaux semi-occultes auxquels appartient un grand nombre de ces individus. Par ailleurs, un « état d’urgence populaire » est déclaré à partir du jour des premières arrestations ; état d’urgence donnant droit aux enquêteurs à des gardes à vue pouvant atteindre 7 jours.
Compte tenu d’une situation d’oppression renforcée par un « état d’urgence » à l’évidence destiné à museler le droit légitime, ce mandat est délivré le trois janvier deux mille vingt-trois au nom du Peuple français représenté par ce Conseil National de Transition de France, soussigné par Eric Fiorile, dissident institutionnel, en représentation de cette autorité légitime de France.
« Que la Force se mette au service de la Justice, du Peuple et de la Nation »
Pour que la Force serve la Justice, le Peuple et la Souveraineté de la Nation et révèle à l’ensemble de la population française les réalités sur les crimes commis, les assassinats commandités, les manipulations financières, les réserves sur les paradis fiscaux, les réalités pédocriminelles, les accords secrets avec les dirigeants de sectes et d’entreprises et certains chefs d’état, et tout ce qu’il est légitime que le peuple sache.
Les termes du mandat d’arrêt rédigé en 2016 par le peuple réuni en ministère public, en vigueur et en attente d’exécution, doivent être étendus à l’ensemble des membres des gouvernements de M. Macron.
Simultanément, la force publique doit assurer la sécurité des lieux et des personnes du Conseil National de Transition qui se substitueront provisoirement au gouvernement en instaurant une « Gouvernance par le Peuple Souverain » selon les normes de la « République Universelle » et du « plan de redressement de la France » établis par ce Conseil de Transition.