Gouvernance Démosophique de France

par un “Conseil National de Transition” (Proclamé et déclaré à l’ONU en 2015)

Basé sur l’INTELLIGENCE HUMAINE COLLECTIVE (IHC)

 

Cour Souveraine 

Internet JITSI (meet.jit.si) COUR SOUVERAINE
Session les Mardis à partir de 20h et jeudis 21h
Courriel : magistraturesupreme@proton.me

RESOLUTION 7/en cours

OBJET : Vaccination

Préambule

 La thème de la santé de l’espèce humaine est aujourd’hui très en vogue, mais rappelons tout de même rapidement quelques règles générales :
 
  1. L’humanité s’est développée durant des milliers d’années sans prendre un soin particulier de sa santé. 
  2. L’être humain dispose d’une physiologie adaptée à la planète terre. Il n’a pas plus besoin de scaphandre que d’addition de produits chimiques pour survivre dans l’environnement terrestre.
  3. Les connaissances anciennes étaient basées sur deux constats : 1) certaines maladies dont on avait réchappé immunisaient la personne contre une nouvelle infection 2) Depuis des siècles, les chinois avaient découvert comment se protéger de la variole en grattant les pustules d’une personne atteinte et en les injectant aux personnes saines, provoquant une maladie sans issue fatale.
  4. Les vrais soucis de santé ont commencé avec l’ère industrielle, essentiellement en raison de notre méconnaissance des effets d’un nouvel environnement sur notre métabolisme (plomb, amiante, etc.).
  5. La médecine a donc commencé à se développer de manière moderne en Europe à partir du 19e siècle… et avec elle, la chimie  thérapeutique qui fait suite à l’alchimie.
 
Rapidement 2 thèses se sont opposées : les maladies proviennent-elles d’éléments extérieurs ou de désordres intérieurs ? Le fait qu’il existe des organismes vivants de dimension invisible à l’oeil nu était supposé depuis l’antiquité, mais ce n’est qu’à partir du 18e siècle que les avancées technologiques permettent la création de microscopes qui vont, tout au long du 19e siècle, permettre de découvrir les causes de certaines maladies (staphylocoque, streptocoque, gonocoque, pneumocoque, peste, tétanos, etc…). La cause était entendue : les microbes étaient responsables des maladies… Un point, toutefois, restait gênant : pourquoi le même microbe pouvait tuer une personne et en épargner une autre ? C’est là que commencèrent les investigations sur le “terrain”, souvent basées sur les travaux de Claude Bernard (physiologiste). C’est aussi au 19e siècle que l’alchimie commence à être remplacée par la chimie thérapeutique, qui génère les travaux de Pasteur et Béchamp.
Le XXe siècle s’ouvre avec la première guerre mondiale où furent utilisés les gaz dont le “gaz moutarde”. Les armées  utilisent la chimie comme arme. Une fois la guerre terminée, ces industries, à l’origine se dédiant pour la plupart à la fabrication de médicaments, colorants, produits ménagers ou cosmétiques, poursuivirent leurs activités en s’orientant sur les découvertes récentes en médecine, la fabrication de médicaments, d’herbicides pour l’agriculture et de vaccins.
La seconde guerre mondiale permit à certaines de ces entreprises de disposer de cobayes humains en quantité et de développer de nombreuses connaissances générales. Les principales entreprises chimico-pharmaceutiques allaient financer les opportunités offertes par la guerre par des accords avec les pays détenteurs de prisonniers. IG Farben en Allemagne et l’unité 731 japonaise allaient fournir à leurs alliés (Monsanto, Dow Chemical etc.) de très importantes informations sur la résistance humaine, le système immunitaire et la guerre bactériologique. Peu après, c’est l’utilisation intensive de l’agent orange au Viet-Nam, des herbicides et pesticides qui vont donner un nouvel essor économique à ces entreprises tandis que les connaissances acquises par IG Farben et l’unité 731 allaient permettre de lancer de nouvelles générations de médicaments et vaccins que la Presse conquise par la rentabilité de la publicité allait promouvoir mondialement tout en faisant disparaître peu à peu toutes les autres alternatives, dont celle de René Quinton qui restaurait la santé par un enrichissement cellulaire par de l’eau de mer, procédé peu couteux et extrèmement efficace au regard du succès mondial de sa méthode sur des maladies qu’on croyait inguérissables.
Pour renforcer la vente de médicaments, il faut plus de malades, et pour avoir plus de malades, il faut faire chuter le système immunitaire des populations. Pour cela, un “Codex alimentarius” permettant l’irradiation des aliments a vu le jour dans les années 1960, augmentant la durée de vente des produits pour le plus grand profit de l’industrie alimentaire, mais provoquant un affaiblissement général qui se traduit par de multiples nouvelles maladies chroniques. Créé par l’ONU et sa succursale, l’OMS, ce Codex alimentarius prétend répondre scientifiquement à la sécurité alimentaire. En réalité, c’est ce Codex qui sert aux mutinationales à valider leurs produits auprès de l’OMC. C’est ainsi que les animaux traités aux antibiotiques et aux hormones ont été autorisés, ou encore que plusieurs pesticides interdits ont été à nouveau autorisés ! Comme à l’OMS, ce sont les multinationales de l’industrie agroalimentaire, de la chimie, de la pharmacie ou de la biotechnologie qui contrôlent cet organisme… C’est penser que le rôle du vendeur de médicament consisterait à ne pas en vendre … comme l’industrie de l’armement travaille pour établir la paix !
 
 
 
 
 

Situation actuelle

En France, après l’interdiction des procédés de René Quinton et une refonte des facultés de médecine par les laboratoires, la plupart des médecines alternatives, et souvent préventives, ont disparu. L’acupuncture, l’ayurveda, la phytothérapie, l’homéopathie, la médecine ortomoléculaire, ne sont pas enseignées, fréquemment dénigrées, et leurs promoteurs régulièrement combattus, parfois emprisonnés (Dr Hamer).
Ces facultés  fabriquent ainsi une génération de médecins serviteurs soumis à l’industrie chimico-pharmaceutique, protégés et surtout surveillés par des “Conseils de l’ordre” qui n’hésitent pas à interdire d’exercer ceux qui respectent le serment d’Hippocrate ou utilisent des méthodes alternatives.
L’ensemble des organisations étatiques pour la santé sont manipulées par ces mêmes laboratoires qui indiquent les mesures de vigilance de manière à ce qu’elles leur soient favorables et, toujours par la complicité des politiciens qu’ils financent, forcent à la vente de leurs produits, les vaccins jouant un rôle essentiel par leur haute rentabilité.
L’obligation vaccinale, un concept violant toutes les lois naturelles de l’être humain, force les parents à faire vacciner leurs enfants en sachant qu’ils les exposent ainsi au risque d’autisme et de maladies chroniques, conséquence des métaux et adjuvants utilisés qui commencent à affaiblir le système immunitaire naturel (Squalène, Nagalase, Graphène…).
En privant les personnes des vitamines qui maintiennent le système immunitaire, le Codex alimentarius vient conforter l’assurance de bénéfices des industries chimico-pharmaceutiques !
Les bénéfices faramineux de ces entreprises ne se retrouvent pas seulement dans leur domination des espaces publicitaires, mais aussi dans le financement des politiciens qui, sitôt élus, s’empressent d’émettre les lois demandées par ces organismes (comme Macron qui rend obligatoires 11 vaccins dès son élection).
 

Tous les êtres vivants sont dotés d’un système immunitaire leur permettant de résister à toutes les maladies. “Être malade” n’est donc pas un état normal, mais la conséquence d’erreurs qui proviennent du style de vie et de l’alimentation.

Ces erreurs peuvent être répertoriées en trois catégories principales :

  • Excès et carence
  • Absence de maintien du système immunitaire
  • Empoisonnement

Depuis une trentaine d’années qu’ont commencé les épandages chimiques de particules de métaux, l’être humain en absorbe à chaque aspiration, et en consomme par tout ce que ces épandages atteignent, depuis l’eau, la terre et ce qu’elle produit.

La détoxication est donc devenue essentielle pour maintenir le système immunitaire. C’est pourquoi les médecins holistiques n’essayent jamais de traiter une maladie sans d’abord traiter ce qui les provoque, et commencent donc tout traitement par une chélation : la zéolithe clinoptilolite essentiellement.

 

Résolution

Au constat,

  • De l’exceptionnelle augmentation de l’autisme et des maladies chroniques chez les jeunes enfants vaccinés (1 sur 5000 en 1975 et 1 sur 50 en 2022),
  • Du coût général pour la société pour les soins de tous ces enfants affectés
  • De la violation des Droits Humains “naturels, inaliénables et imprescriptibles” énoncés au plus haut de la hiérarchie constitutionnelle, et renforcés par de nombreux textes et traités internationaux faisant suite au “code de Nuremberg”.
  • De la recrudescence de nouvelles maladies graves et/ou chroniques depuis les vaccinations massives,
  • De l’inutilité médicale de ces vaccins censés “prévenir” des maladies bénignes et/ou facilement guérissables,
  • De la facilité avec laquelle les vaccins peuvent être employés pour diffuser des maladies ou éradiquer des populations (Sida, Ebola en Afrique, Covid pour un génocide mondial, etc.),
  • Du conflit d’intérêts permanent en raison de la main-mise des multinationales chimico-pharmaceutiques sur les organismes de santé, 
 
 

Le PEUPLE DE FRANCE, en qualité de SOUVERAIN LEGITIME, chargé de garantir le Bien Commun et les droits fondamentaux des Français conformément à l’article 2 évoquant ces droits comme “naturels et imprescriptibles”, après avoir démontré que l’ensemble du système de gouvernance actuel de la France est illégitime et illégal et, pour cette raison, proclamé un Conseil National de Transition déclaré à l’ONU en 2015,

ESTIME que toute forme de contrainte violant les “Droits naturels et imprescriptibles” est inadmissible dans le pays des libertés et du juste Droit,

PENSE que toute loi s’opposant aux principes naturels de la vie ne peut être que l’oeuvre de psychopathes stipendiés qui doivent disparaître de la société dirigeante, et à cet effet confirme l’ordre donné à la force publique lors de la Résolution N°5,

PREVOIT dès son intronisation

  1. De mettre fin à ces anomalies en rendant la France indépendante de tous ces organismes (OMS, FAO, OMC…) et en intensifiant les centres de contrôle alimentaire et de vigilance médicale, 
  2. D’user de la TVA flexible pour taxer fortement les produits alimentaires dangereux pour la santé,
  3. De créer un programme de formation universitaire incluant les médecines alternatives,
  4. D’interdire les interventions chimiques sur le climat et la terre (chemtrails),
  5. De remplacer les “Conseils de l’Ordre” par des “Comité Ethiques”, et de renforcer l’indépendance morale et juridique des acteurs sanitaires.
  6. De modifier l’ensemble des contraintes européennes (donc dictées par ces multinationales) qui pèsent actuellement sur les agriculteurs et éleveurs. 
  7. De soutenir nationalement la paysannerie vers une agriculture plus saine, naturelle, redimensionnée écologiquement, respectueuse de la condition animale et de l’état de la terre et des eaux.
  8. D’exiger pour tous les produits de consommation un étiquetage complet

 

 

APPROBATION DU PEUPLE : 100%

Résolutions précédentes :

Vidéo de 2023 confirmant le danger vaccinal