Gouvernance Démosophique de France
par un “Conseil National de Transition” (Proclamé et déclaré à l’ONU en 2015)
Basé sur l’INTELLIGENCE HUMAINE COLLECTIVE (IHC)
Cour Souveraine
Internet JITSI (meet.jit.si) COUR SOUVERAINE
Session les Mardis à partir de 20h et jeudis 21h
Courriel : magistraturesupreme@proton.me
RESOLUTION 9/ en cours
OBJET : Ressources naturelles
Préambule
EAU contre pétrole ! Cette information ou désinformation a alerté les Français et motivé ce Conseil à prendre une résolution sur ce sujet des ressources naturelles.
L’humain a toujours vécu sur un espace délimité par sa naissance et il a adapté ses besoins aux ressources que lui offraient cet espace, c’est ainsi que se sont créées de grandes différences tant en ce qui concerne l’habitat que les habitudes alimentaires ou vestimentaires.
Les communications faisant découvrir d’autres ressources dans d’autres espaces ont conduit les voyageurs à faire connaître de nouveaux produits et, pour certains, à en faire commerce. Le commerce des épices ou de l’huile de baleines sont parmi les plus connus, mais la recherche de richesses a développé d’autres concepts, comme les pierres précieuses ou l’or que les navigateurs avaient sans cesse à l’esprit lorsqu’ils découvraient de nouvelles terres.
Il existe pami nous une classe d’hommes qui, dès les débuts de l’industrialisation ont exploité les ressources naturelles d’autres régions, parce que les populations locales n’y accordaient pas d’intérêt ou n’avaient pas les moyens techniques de les exploiter. Ceux qui s’enrichissaient par l’huile de baleine durent céder la place à ceux qui découvrirent l’utilisation du pétrole pour allumer les lampes.
Avec les séparations en territoires, en nations, les richesses se sont concentrées autour du pouvoir qui disposait des ressources obtenues du travail de toute la population (impôts). C’est donc naturellement que les dirigeants (par nature avides de richesses et de pouvoir), ont utilisé l’argent public pour financer des expéditions qui devaient leur rapporter, Angleterre, Portugal, Espagne, Italie, France, se sont distingués par leurs expéditions et leurs conquêtes de terres offrant ces ressources nouvelles. Lorsque le territoire ne pouvait être conquis par la force comme la France en Afrique ou l’Espagne en Amérique latine, des accords d’exploitation étaient alors conclus comme l’Angleterre avec la Chine pour l’opium. Mais l’industrialisation qui commença à la fin du 18e siècle allait ouvrir de nouvelles voies aux avides de richesses : les mines et les nouveaux métaux dont peu à peu la chimie découvrait l’existence et l’utilisation.
Tout le 19e siècle a été consacré au développement sans conscience ni scrupules de nouvelles richesses, et donc de création de mines qu’il fallait exploiter « ailleurs ». Soit la terre nous appartient et on fait ce qu’on veut, soit on est « chez les autres » et il faut alors négocier le droit d’exploitation, d’où les grandes manipulations des plus puissants pour obtenir des gouvernants locaux bien disposés à leur égard, pratiques pour lesquelles on se servait parfois de la religion ou de la guerre, mais surtout de la franc-maçonnerie.
L’essor magistral de l’Europe durant le 19e siècle vient surtout de cette exploitation du monde entier qui fournissait les moyens de financer les recherches technologiques qui, elles-mêmes fournissaient les applications utiles. Les hauts fourneaux de Grande-Bretagne et l’acier ont fortement contribué au développement des mines, comme aujourd’hui le coltran attire les convoitises des producteurs électroniques, d’où ce regain d’intérêt des grandes puissances industrielles pour le Congo, l’un des principaux producteurs.
La planète ne peut tout concentrer partout, il est donc nécessaire à tous d’avoir accès à toutes les richesses, mais comment ?
La situation actuelle
Comme il n’existe aucun régulateur mondial, la situation actuelle est soumise aux exploitants qui parviennent via des guerres ou des manipulations étatiques à utiliser les richesses des autres pour leur seul profit. Ces exploitants (grandes entreprises multinationales) deviennent ainsi des acteurs politiques, fournissant des subsides aux politiciens qu’ils ont fait élire et menant des campagnes pour leur profit par l’intermédiaire de ces politiciens, comme on l’a vu récemment avec le Covid dont les gouvernements les plus corrompus n’ont pas hésité à user de coercitions pour forcer la vente de ces injections.
Le danger pour l’humanité, c’est que ces entreprises, sans scrupules ni conscience, n’ont pas d’autre finalité que leur propre développement et donc leur suprématie sur leurs concurrents. Plus grave encore : ces entreprises liées aux banques mondiales prennent peu à peu le contrôle des institutions internationales : l’agroalimentaire via le FAO, l’industrie pharmaceutique via l’OMS, l’industrie de l’armement via l’OTAN, etc… Ce qui leur donne tous pouvoirs sur les populations via les gouvernements qu’ils contrôlent. Après l’épisode « Covid », l’industrie pharmaceutique modifie les règles de l’OMS pour réussir la prochaine opération « plandémie ». L’industrie agroalimentaire utilise la géoingéniérie pour organiser des sécheresses et provoquer des famines, et comme ces entreprises appartiennent toutes aux mêmes personnes, elles se complètent pour aboutir à leurs plans, c’est ainsi qu’en sus de la sécheresse, elles provoquent des abattages d’animaux en masse sous prétexte de pandémie ou de réchauffement…
Leur contrôle des institutions internationales n’a de valeur et de pouvoir que tant que les politiciens sont à leurs ordres, mais si un peuple se libérait, cela suffirait à faire capoter tous leurs plans, car l’humanité veut vivre et sa liberté est l’une des conditions essentielles de son existence. Un peuple qui se libérerait en entraînerait beaucoup d’autres à sa suite et provoquerait rapidement l’effondrement de ces organismes internationaux qui ne sont que des chateaux de cartes. Nous, peuple de France, sommes les plus aptes à déclencher ce processus vital pour l’espèce humaine, en raison, non seulement de notre histoire montrant notre caractère individualiste et révolutionnaire, mais surtout en raison des particularités juridiques de notre constitution(bloc de constitutionnalité) et de notre présence à l’ONU nous permettant une communication mondiale.
Résolution
Nous, peuple de France, réunis en session gouvernementale, conscients de l’ensemble des problèmes qui touchent toute l’humanité et en particulier des dérives en cours menant inexorablement l’humain à la fin de sa civilisation, que ce soit par l’Intelligence Artificielle, un génocide mondial ou le Transhumanisme, avons résolu de nous opposer à cette finalité en libérant d’abord notre pays, la France, puis en instituant un comité éthique mondial visant à pérenniser l’espèce humaine.
L’un des premiers moyens pour mener cette croisade est de commencer à limiter les pouvoirs des multinationales sur notre population, et à cet effet, hormis les mesures juridiques sur le Droit des sociétés qui interviendront plus tard, prenons d’ores et déjà la résolution suivante :
- Nationalisations : au constat que la loi française a été violée par les dirigeants qui ont privatisé nos biens communs malgré l’interdiction évoquée par l’article 9 du Préambule de 1946 qui fait autorité constitutionnellement, le simple fait de procéder à l’arrestation des malfaiteurs et de déposer plainte pour recel contre les entreprises ayant bénéficié des faveurs de ces criminels, suffira à restaurer le juste Droit, à savoir la nationalisation de tous ces biens communs (eau, électricité, gaz, communications, autoroutes, banque, Poste, production pharmaceutique, etc.).
(Nous sommes conscients que les entreprises nationalisées étaient menées pour la plupart par des politiciens recyclés, d’où leur baisse de rentabilité tant par incompétence que par corruption, mais nous sommes aussi convaincus qu’une direction compétente améliorerait la qualité des services ou produits à moindre coût puisque les bénéfices seraient utilisés à cet effet plutôt que d’être distribués à des actionnaires avides de gains, motif de leur intérêt à la privatisation). Le fait de priver les populations et les agriculteurs français d’une eau de qualité pour la vendre à l’étranger est aussi absurde que de les priver d’eau afin d’irriguer des camps de golf ! Ce retour au Juste Droit suffira donc à restaurer les services publics, à en baisser les coûts et à nous indépendantiser des organismes internationaux.
Garantir l’autonomie de la population doit être le premier devoir des dirigeants d’un territoire. Les exportations doivent donc être contrôlées afin que seuls les surplus soient exportés, et l’eau étant à la base de toute l’alimentation, elle doit être préservée au plus proche de son état naturel, ce qui signifie naturellement de mettre un frein aux ingérences des organismes internationaux par les chemtrails, les contaminants imposés (pesticides et herbicides), ainsi que les semences modifiées génétiquement.
- Ordre est donc donné à l’armée de l’air d’interdire les ingérences sur notre territoire et d’intercepter immédiatement tout avion qui tenterait d’épandre des produits chimiques sur nos terres et populations.
- Abandon des normes européennes qui obligent à l’utilisation de produits chimiques dans l’agriculture, à l’achat de semences OGM ou à l’abattage des animaux. Seules les normes établies par la France sont en vigueur.
Nous notons que certains secteurs privés doivent être maintenus, tels que l’école ou l’hopital, mais qu’ils devront appliquer strictement les normes françaises.
APPROBATION : 100%